mieux vaut court que jamais #491

Le temps le presse, a-t-on l’impression. Pour peu qu’un jour il décompresse et il finira en dépression. Et pourtant il suffirait qu’il se déstresse pour éprouver de meilleures sensations.

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Comme son ulcère qu’il cultive,

Dans la tombe qu’il creuse,

De son optimisme qu’il active,

Il en fera une jardinière radieuse.

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La fatigue le prend des pieds à la tête. Seulement, les cheveux au vent du pédalage de vélo, n’y succombent pas et s’agitent en tous sens. La mèche folle fiévreusement s’envole.

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