mieux vaut court que jamais #477
On évoque sans vergogne le goût naturel de l’homme de se trouver – surtout après qu’il s’en est extrait – sur le plancher des vaches. Toutefois nul homme ne s’est penché sur la question de savoir si les vaches se satisfaisaient entièrement de leur condition de terrestres.
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Soit dit en passant, nul ne se préoccupe de son entretien, au dit plancher des vaches que les bovidés foulent sans vergognes avec leurs gros sabots qui ne sauraient être de tout repos. Ce n’est pas d’un coup de balais et d’un passage de serpillière que l’on l’en retrouve dans sa propreté immaculée, que cela leur soit signalé.
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Quand les vaches auront débarrassé leur plancher, peut-être songerons nous à renouveler le revêtement terrestre. Le retour à la terre battue ne peut être à exclure.